[LES BRITANNIQUES
„gende —
omter ou. dorminen‘
ar cultures de od:
reales.
|[Comtös vis dominent
nn les päturager.
Ya) Cbmter mürten.
=] Comtesx od lo nom.-|
re ddas beten davor |
now est SUPFrÜeUN du
La moyonne generale
Chmtes oU. Larsurfür.
"griorle nab-
pas 5%
ES BRITANNIQUE
2ARTE PHYSIQUE
'-1/7.500 000
Atlas VIDAL-LABLACHE.
LES BRITANNIQUES
CARTE POLITIQUE
Echelle '/3. 500 000
KÜOMELe -
075 WE wo
MW apitalex d’Etats left
ı Chefs Biene: de. u———... ÖUMMUELLT-
"omtös ou Shires | Liqnes de nav‘.
faztren Fälle En
‘ MNesH
>
— 107 —
ILES BRITANNIQUES
ILES ORCADES
ET
ES SHETLAND|
"he "= 1/3500 000,
es Shetlar
(A)
Ma.‘
Q
1.Fo
ee Ar
A A TIQ
1L.Fais
; une
Orcaktes
A-t +ayil)
“6gende __
Chaieet Argile du
d bassin de Londres.
\ Nerre de taille et
ünerals de fbr
obithique.
Tone metallurgique
p | Terrain anctens
-— pütı vu point metal
AifEres
S Houiller
Her. FoFor
= Gdore. En Ktain
= Plomb Z= Zine
59p
#.
“9 nave*
Aucunm point de la Grande-Breiagne n’est &
plus de vingt-cinq lieues de Ja mer. Le develop-
Pement des cötes alteint son maximum dans la
region des firchs et des archipels cötiers du
nord-ouest; mais la vie maritime est surtou!
active dans les estuaires Auviaux, grüce & la
Penetration des marees, Elle se combine ains;
AVec un systeme de communications. favorise
‚nterıcur par le relief modere du sol. Des
»pressions isolent les unes des autres les parties
ıontagneuses de |’ile, et les principaux massifs
nt relegues aux extremites du territoire. Ce
nt ces avantages qui ont fixe sur le plus grand
euve d’Angleterre la metropole du Rovaume-
ni, qui ont assure aux basses terres d’Ecossı
suprematie sur les hautes terres. L'Irlandı
'en est pas depourvue, mais elle souffre de
:xces d’humidite du climat et de Vinsuffisance
Ss ressources minerales.
La Grande-Bretagne tire du sol assez de
mbustible pour alimenter ses industries et
<«porter de quoi faire concurrence aux houilles
4 Gard a Marseille, aux houilles du Rhin dans
Baltiaue. Les fovers industriels se sont fixer
‚ussi pres que possible des lieux d’extraction Hasgow (fer), de Swansea (cuivre), etc. ourne son activite vers les päturages. Seuls,
«non loin des ports. Les villes industrielles de ‚insi s’est developpee cetie lcegion de grandes räce ä leur climat plus sec, les comtes de l’Est
interieur tendent a se rapprocher de la me! illes, qui absorbent des ä present plus du quart ontinuent ä& produire du ble, mais en quaniite
:anal maritime de Manchester), Atıirees vers e la population to1a e. Neanmoins, et malgre res inferieure a celle que 1a Grande-Breiagne
:s ports par la proximite des fovers industriels. ne forte emigration. la population ne cesse st contrainte de demander ä F’Amörique et ä
es matieres premieres affluent de tout l’univers ‘augmenter, sauf en Irlande. L’apriculture an. |Inde, — Chargee d’importer les cereales et les
tt forment les grands entrepöts de Londres „laise est loin de suffire a sa subsistance, Depuis matieres premieres, d’exporter la houille et les
laines, metaux), de Liverpool (coton), de "abolition du droit d’eniree sur les grains, elle ; meraux travailles, la marıne marchan.de dispose
LIBRAIRIE ARMAND COLIN
un fret abondant, que le tonnage des ports
ırmet d’apprecier. On remarque la part qui,
ıns ce mouvement, revient aux ports charbon-
ers. (Carton n® 4.),
La France, les Etrats-Unis et [’Allemagne
ıttent parfois avantageusement avec l’Angle-
‚rre sur le terrain indusıriel; mais par sor
mmerce, appuvy€ sur un vaste empire colonial
servi par une marine marchande presque €gal
celle de toutes les autres nations reunies, 1
rande Bretagne est sans rivale.
Moıis celtiques : ard, hauteur; at. gue; benn
ommet; caher, cite; carrig, roc; cork, marais
lerry, chene; dun, fort; ennist inish, ile; glen
allee; Anl, eglise; /owsh,lac:magh, plaine ; mor
ırand; mullagh, sommet: slieve. montagne. V.-[.