262 DEUXIEME PARTIE.
feu enveloppe d’une atmosphere de feu que traver-
sent desnua-
ges: dans ce
hbrasier €-
hlouissant
fout est en
fusion; les
metaux -y!
sont & V’etat
devapeur ou
deliquide in-
candescent .
Ce foyer de
lumiere etde
chaleur, au-
tour duquel
tournent no-‘
tre terre el toutes les planktes que je viens de par-
courir, est Iui-meme emporte dans l’espace avec une
effrayante vitesse : il tourne autour de quelque astre‘
plus 6norme encore que Iui et qui fait partie des
etoiles. Notre soleil n’est lui-meme qu’une &toile per-
due dans la foule des etoiles.
Elancons-nous vers ces mondes, dont les groupes
varies forment les constellations de la nuit. Qu'ils‘
sont loin ! quel espace A parcourir !
Tout & l’heure nous allions en peu d’instants d’une
planete & l’autre, Maintenant, nous avons beau häter
notre marche, ces etoiles sont si loin, quelles ne
semblent pas meme se rapprocher.
I
LES COMETES.
Chemin faisant, tandis que nous {raversons ces vas-
1. Comment comprenez-vous ces mots : « les m6taux sont dans le
soleil Al’6tat de vapeur ou de liquide incandescent ?»— 2, Autour de
quel astre tournent notre terre et toules les planetes? — 3, Le soleil
lui-mäme est-il immabile? —— 4, Exnliauez le mot constellations.