I. Zeitalter Friedrichs des Großen.
1. Anfänge Friedrichs des Großen.
(Euvres posthumes de Frederic le Grand; — Preuß, Friedrich der
Große; — Ranke, 12 Bücher preußischer Geschichte; — Koser, Politische
Korrespondenz Friedrichs des Großen; — Ghillany, Europäische Chronik.
Regierungsantritt. Friedrich ah Voltaire.
A Charlottenhourg, le 6 juin 1740.
Mon eher ami,
Mon sort est cliange, et j’ai assiste aux derniers moments
d’un roi, ä son agonie, ä sa mort. En parvenant ä la royaute
je n’avais pas besoin assurement de eette le<jon pour etre
degoute de la vanite des grandeurs humaines . . . Ne voyez
en moi, je vous prie, qu’un eitoyen zele, un philosophe un
peu seeptique, mais un ami veritablement fidele. Pour Dien,
ne m’eerivez qu’en liomme, et m6prisez avee moi les titres,
les noms, et tout l’eelat exterieur. Jusqu’ä present il me
reste a peine le temps de me reconnaitre; j’ai des oecupations
infinies: je m’en donne eneore de surplus; mais malgre tout
ce travail, il me reste toujours du temps assez pour admirer
vos ouvrages et pour puiser ehez vous des instructions et des
delassements. — Adieu, mon eher Voltaire; si je vis, je vous
verrai, et meme des eette annee. Aimez moi toujours, et
soyez toujours sincere avee votre ami
F e d e r i c.
Religiöse Toleranz. (Randbemerkung Friedrichs, 1740:)
„Die Religionen müssen alle tolerieret werden, und muß der Fiskal
nur das Auge darauf haben, daß keine der andern Abbruch thue;
denn hier muß ein jeder nach seiner Fasson selig werden."
Erster schlesischer Krieg. Ansprache des Königs an
die auf den Kriegsschauplatz abgehenden Offiziere: „Meine Herren,
ich unternehme einen Krieg, worin ich keinen andern Verbündeten
habe, als Ihre Tapferkeit, noch andere Hilfsquellen für mein Glück.
Erinnern Sie sich unaufhörlich des unsterblichen Ruhmes, den Ihre
Vorfahren sich in den Ebenen von Warschau und Fehrbellin er-