FRANCE. ADMINISTRATION
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Siege de la Cur dMlppes
u. Limnites du ressort der Cou
LL Limites de departerme: *
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Toute l’administration de la France repose
ur la division en deparıcments instituee par
"Assemblee constituante, L’'wuvre de la Cons-
ituante n’a, depuis un siecle, subi que de
egeres retouches. Si l’on met ä part les chan-
gements survenus le long des frontieres de Bel-
zique, d’Allemagne et d’Italie, par suite des
pertes ou des acquisitions de territoires. on ne
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‚ouve guere ä sıgnaler, dans linterieur meme
4 pays, que la separation du Rhone et de la
vire, et la creation de Turn-et-Garonne, aux
:pens des departements volsins.
Dans cette refonte des divisions adminis-
‚atives de la France. la Constituante est
»n de s’etre affranchie, aussi completement
ıu’on le dit quelquefois, des traces de li-
uıes fournis par les divisions anterieures,
Certaines provinces sont assurement difficiles
identifier avec un groupe de departements
ıcn defini; on en lrouve au contraire pour
:squelles la concordance est complete ; ainsi
Bretagne, dont les limites n’ont pas bouge
<puis le milieu du treizieme siecle. De meme
ı Charente-Inferieure correspond exactemen?
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FRANCE ADMINISTRATIVE
DIVISIONS PAR DEPARTEMENTS
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— Legende —
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Cheft-Heue de Departements (refecturer/.
Chefs Virus dErrondissementsl Sius-Lrefettuure
dutres ville -
ux gouvernements d’Aunis et de Saintonge. Berry du Nivernais, que le Cher de la Nievre,
Sur beaucoup d’autres points on retrouve une ‚a Bresie et V'’Epte limitaient 1a Normandie,
oncordance analogue. Cela est frappant surtout :omme elles limitent la Seine-Inferieure et
‚our un certain nombre de limites marquces Eute, La haute Sarthe scparait la Norman-
»ar des cours d’eau. Avant comme apres 1791, ‚je du Maine, comme elle separe l’Orne de
e Rhöne formait, sur tout son parcours, une a Sarthe; de möme pour l/ndre entre Ja Tou-
‚ronliere interieure. La Loire scparait prcsque raine et Ile Poitou, comme aujourd’hui, entre
‘ussi exactement les Bituriges des AKdui cı le Indre-et-Loire et la Vienne.
LIBRAIRIE ARMAND COLIN
Plus nombreuses encore apparaitraient les
oincidences si l’un examinait les subdivisions
e Vancien regime /bailliayes, etc.}. C'est 1ä
n effet. que survivaijent les divisions les plu
nciennes et, en mcme temps, les plus voisines
e la nature. On peut dire qu'elles survivent
ncore dans nombre de departements. Avec eux
nt reparu sur la carte quelques-unes des ciyI-
ıfes ou des pagi gaulois. L’Indre-et-Loire, cı
onı les Turones; — 1a Dordogne, les Petrocorii;
V’Aveyron et le Tarn, les Ruteni; — Ya Loire
t le Rhöne, les Segusiari, etc. Ainsi, a travers
es inevitables transformations de !'histoire, se
ont perpetues plusieurs traces de limites qui
nt comme des reperes marques par la nature
Ceci explique en partie pourquoi la divisior
lepartementale, sans ettacer dans le langage et
les mezurs les distinctions provinciales, y a pris
ıne place desormais preponderante. 11 n'y au-
rait peut-&ire de caduc en elle que les arron-
Yissements (simplification des districts de Ia
Zonstituante, qui paraissent & leur tour trop
„etits, depuis l’etablissement des chemins de fer
et des telegraphes. PD,