Am Vorabend des Befreiungskriege-
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Corps nur geopfert wäre, ohne ihm in seiner Lage noch wahre Hülse
leisten zu können.
Die Convention läßt Ew. Majestät in Höchst Ihren Entschließungen
freien Willen; sie erhält aber Ew. Majestät ein Truppencorps, was der
alten ober einer etwaigen neuen Allianz Werth giebt unb Allerhöchstbie-
selben nicht unter bie Willkür Ihres Alliirten setzt, von bem Sie bie Er¬
haltung ober Retablirung Ihrer Staaten als Geschenk annehmen müßten.
Ew. Majestät lege ich willig meinen Kops zu Füßen, wenn ich gefehlt
haben sollte; ich würbe mit ber sreubigen Beruhigung sterben, wenigstens
nicht als treuer Unterthan unb wahrer Preuße gefehlt zu haben. Jetzt
ober nie ist ber Zeitpunkt, wo Ew. Majestät sich von ben übermüthigen
Forberungen eines Alliirten losreißen können, besten Pläne mit Preußen
in einem mit Recht Besorgniß erregenben Dunkel gehüllt waren, wenn bas
Glück ihm treu geblieben wäre. Diese Ansicht hat mich geleitet. Gebe
Got, baß sie zum Heile bes Vaterlanbes führt.
York.
d) Brief Kaiser Alexanbers an König Friebrich
Wilhelm, Wilna 25. Dez. 1813/6. Januar 1813.
Je saisis, Sire, le premier moment favorable pour reiterer ä
Y. M. l’expression de cette ancienne et tendre amitie qu’aucune
circonstance n’a pu ebranler en moi. Croyez, Sire, que malgrö les
6v6nements penibles qui se sont pass6s pendant cette ann6e, mon
attachement pour V. M. est reste toujours le meme, et depuis la
tournure si favorable que la providence Divine a fait prendre aux
affaires, un de mes dösirs les plus ardents est de vous convaincre
combien j’ai ä coeur vos intörets et ceux de votre monarchie. Par
ma religion, par mes principes, j’aime ä payer le mal par le bien,
et je ne serais satisfait que quand la JPrusse aura repris tonte sa
splendeur et sa puissance.1) Pour y parvenir j’offre ä V. M. de ne
poser les armes que quand ce grand but sera atteint. Mais il saut
que V. M. de son cöt§ se joigne franchement ä moi. Jamais moment
ny a 6to plus favorable. La grande armöe frangaise est en grande
partie dötruite et ses faibles restes complötement desorganis6s. V. M.
doit etre informöe que le corps du g6n6ral Yorck, ä la suite de
tous oes 6v6nements, a 6t6 separ6 de celui de Macdonald. J’espöre
que le g6n6ral Y orck, en acceptant la Convention que je lui ai fait
proposer, a agi dans le sens des intentions de Y. M. . . .2)
1) Vgl. ben Brief des Kaisers an den Marquis Paulucci, der die Verhandlungen
mit Aork führte: er sei entschlossen „de ne pas poser les armes tant que je n’aurai