ores , regrettait tou jours son petit
village, la chaumiére de ses
narents. Et un jour, laissant son
9alais, ses tableaux, ses riches
amis, il s'enfuit secrètement,
revint en Lorraine, revoir son
village et embrasser le vieux
maitre d'école qui lui avait en-
seigné à lire et à écrire.
Un jour aussi, comme Claude
le Lorrain, vous comprendrez,
enfants, que le village, c'est la
patrie, c’est le bon heur.
L'ÉGLISE. — LES CLOCHES.
Vous le savez, enfants, le bon
Dieu est partout; mais l'église est
sa demeure chérie; c'est la mai-