164 bis FRANCE MONARCHIQUE
j -Quint? — Quelies &taient 1e
g I°r et Charles Quint? Que | t 188 207008 x |
des "deux er _— 287. Frangcois I°" rechercha-t-il V’alliance d’Henri Vie d'e
x lle ville defendit Bayard? — Quelle fut ]a cause de Ja döfaite do ı2 Bicoqu. X
Que: 18 6taient les griefs du conn6table de Bourbon contre le roi? Der
— 9288. eh echouer? — Quelles defaites essuyerent Bonnivet en 1324 et pr ant
quelle be 10032 _— 989. Dans quelle expedition le conn&table trouva-t.j] la Fran,
20 quels traites furent terminges la premiere et la deuxieme guerre ? Mor
- © 2 . wir
. — 1. Francois I° ei les Suisses, Marignän et La Bi
) Dan en krrnes et mort du connetable de Bourbon. L0que.
Gr Ce. ®
CHAPITRE Il
FRANGOIS I“r (Fin)
290. Alliances de Francois Jer , et de Charles.
Quint. — Charles-Q uint faisait Lrembler 1 Europe par sa Büfs.
sance. Maitre d’une partie de !’Italie, il avait eNCore vu Plier
devant Iui la Porte 1 ottomane. Le sultan Soliman le Magni.
fique, vainqueur de la Hongrie ä Mohacz (1526), avait qn
reculer devant Iui au siege de Vienne (1529). En 1535, em.
pereur triompha de l’amiral de Soliman, Khair-Eddin Bad
Aroundj (Barberousse), & Tunis, eten ramena 18 000 Captifs
chretiens. En Allemagne, il &tait le protecteur de l’Eglise
contre le protestantisme naissant. La N6cessite d’Etabhlir en
Europe une sorte d’egalite entre les diverses Puissances, afın
que les plus faibles ne fussent pas absorbees par les plus fortes
avait fait prevaloir la politique, toute nouvelle, de l’Equilibre
guropeen. Le roi tres chretien ne recula pas devant V’allianee
des ennemis de l’Eglise, Si, d’un cöf6, il faisait &pouser a son
fils Henri la ni&ce du pape, Catherine de Medieis, de V’autre
il s’alliait avec le schismatique Henri VI]IT, avec les Princes
protestants d’Allemagne ligues ä Smalkalde (1530), avec s oli.
man Iui-meme. D’ailleurs, Charles-Quint invoquait Pappui qn
vol de Perse.
291. Troisieme guerre. Invasion de la Provenee,
Treve de Nice (1538). — Francois I”, en acc6dant A. la
ligue de Smalkalde, combattait les efforts de Charles-QOgin;
ı On appello ainsi le Gouvernement ottoman.